Quand les lumières se répondent, au lieu de s’opposer

Ce soir commence Hanouka, la fête juive des lumières.

Mais la scène que nous voyons ici va plus loin : elle réunit les symboles des trois grandes religions monothéistes.

Une image rare. Une image forte. Une image nécessaire. La menorah, le croissant, les lumières chrétiennes :

trois traditions différentes, une même aspiration — la lumière face à l’obscurité.

Dans une France aujourd’hui profondément divisée, où certains cherchent à opposer les croyances, les cultures ou les origines, ce symbole nous rappelle une vérité simple :

👉 ce ne sont pas les différences qui détruisent une nation,

👉 c’est l’intolérance, la haine et l’exploitation politique des peurs.

À Nouvelle Génération, nous croyons à une République qui protège toutes les convictions, tant qu’elles respectent les lois communes, la laïcité et l’ordre républicain. La liberté de croire — ou de ne pas croire — fait partie de notre identité française. Hanouka nous enseigne que la lumière ne s’impose pas par la force, mais par la constance.

Chaque bougie allumée est un refus de la peur, du rejet et de la violence.

En ce premier soir de Hanouka, j’adresse à tous un message de respect, de fraternité et de vigilance. Face aux extrêmes et aux divisions, choisissons toujours la lumière.

Hanouka Sameah.

Précédent
Précédent

Construisons ensemble : lancement de notre programme participatif à Éragny

Suivant
Suivant

Tibor VASS, candidat aux municipales 2026 à Éragny